L'ego hélant (et laids, mous êtes !) : or durent... (1)

Publié le 14 septembre 2017 par Narcisse

On a encore trié pour rien !

Découpé en tranches - Zep

Je ne prétends pas sauver la planète en jetant ma peau de banane dans la poubelle verte. Juste faire ce que je peux, à mon microscopique niveau, pour contribuer le moins possible à l'aggravation des choses.

Certains dans mon immeuble n'ont pas le même souci, qui balancent leurs ordures dans n'importe laquelle, ce qui fait que les trois partent à l'incinération…

Les Bidochons sauvent la planète - Binet

Nous avons trois types de poubelles : verte pour les déchets alimentaires, jaune pour les emballages, et bleue pour le reste qui sera incinéré.
De plus je porte régulièrement le verre au container. (Parce que je picole aussi, entre autres tares...)

Auto bio - Cyril Pedrosa

Et le papier à une collègue : l'école de sa fille revend le papier et ça fait des sous pour les activités des gosses.

"Quand container a pas pied, ber-Tita-nic !" - Ginette & Caramel

http://ginette-caramel.over-blog.com/2015/12/quand-container-a-pas-pied-ber-titanic.html

"Quand container a pas pied, ber-Tita-nic !" - 14 décembre 2015

Je n'ai pas beaucoup d'illusions non plus sur le sort des emballages. 69 sortes de plastiques différents, ça me paraît compliqué à trier… et à recycler.
L'idée serait sans doute de limiter les emballages en amont, mais ça crée du PIB ! Et puis tant que le plastique ne coûtera pas plus cher à produire…

Economix - Michael Goodwin & Dan E. Burr

Voilà bien encore un truc qui m'énerve : la notion de coût. Qu'est-ce qu'on compte vraiment ? Le coût de production ? Mais qu'en est-il du coût de la disparition du produit, sans impact sur l'environnement ? Le sixième continent - de plastique - , j'y contribue sans doute, mais je ne suis pas le seul…

Accroche-toi au balai - Caza

Les poubelles, ça me fascine aussi depuis longtemps, un peu comme Gotlib et "le boueux de (son) enfance". J'ai aussi connu l'époque des mises en décharge, âge d'or pour mes volatiles soit disant maritimes.

Une (??) pelletée de terre par-desssus et le problème était réglé.
Sommes-nous donc comme ces petits enfants qui croient que la chose disparaît quand on ferme les yeux ? A trop jouer à "coucou-caché", il arrivera un moment - et il arrive, en fait - où nous n'aurons plus que deux solutions : s'attaquer vraiment au problème, ou se crever les yeux.