2021 dans le rétro (7) : juin
Fin d'année interminable ! Ma dirloche favorite est au bord du burn-out : administration peu "bienveillante", parents d'élèves qui se chicanent entre eux, collègue chiante… Et tout ça en plus de ses soucis familiaux.
Je compatis comme je peux, c'est à dire mal.
Mais moi, je suis peinard.
Après un mois de mai où une météo taquine nous a refait goûter aux plaisirs d'un confinement assez strict, nous renouons enfin avec bistros et restos. Et même un ours comme moi trouve finalement agréable d'être entouré de "gens".
Après quelques sorties, le ciel prend à nouveau une couleur boudin. A peine le temps de dépoussiérer un de mes bermudas, et nous ressortons pulls et blousons.
"The Olllam" sort aussi un nouveau (mini-)disque, très pro, un son impeccable. Mais je reste accroc aux "Kings" : seulement trois titres sur 11, mais vraiment top. 21 ans après leur premier, je trouve ce quatrième album du même acabit. Sauf qu'il ont (presque) renoncé à introduire d'autres instruments. Moi j'aimais bien les (rares et discrètes) interventions de violon, de percus, de piano. Ils se contentent ici de leurs deux guitares / deux voix avec un son toujours aussi léché.