Tôt n'erre : de Brest, le retour…
Donc le lundi 8 août 2022, nous sommes repartis pour trois jours à Brest. Avec pour objectif la chasse au street art à Brest et Morlaix, et l'expo Ernest Pignon Ernest à Landerneau.
En effet, la lecture du bouquin "Street art en Bretagne" (à moi offert par Anne-Marie) nous laissait espérer des trésors à découvrir. Et puis pendant que je travaillais sur les 1600 photos de Lisbonne - mais là, il faudra attendre les vacances d'automne pour que je les présente -, elle avait cherché des infos complémentaires sur Brest et Morlaix. Il faut dire que nous avions arpenté ces deux villes en 2017 et 2018 et que le street art y était encore peu présent. Juste quelques petites choses discrètes : Intra Larue à Morlaix, disparue depuis, et autour de la rue de Saint-Malo à Brest en 2020.
Après Lisbonne, nous n'avons pas été dépaysés par la météo. Ce qui ne nous a pas empêchés de marcher toute la journée : en ville, il est assez facile de se déplacer à l'ombre. Et de faire de nombreuses pauses "hydratation" (il paraît qu'à mon âge, c'est recommandé).
Sur les quelques 250 photos faites, très peu concernent donc l'architecture et les beautés de ces trois cités : nous l'avions déjà fait et même si j'ai une forte tendance à radoter, il y avait pour moi un air de déjà vu photographique.
Oh, je suis bien toujours attiré par les portes et les plaques d'égouts, mais n'étant toujours pas en retraite, je me suis réfréné en pensant au travail que cela me demanderait au retour.
Trois jours assez chouettes donc, et dans des conditions de luxe : si nous avons gardé l'habitude de nous contenter d'une demi baguette au déjeuner, il n'en fut pas de même le soir.
La brasserie "Le Clémenceau" à Brest est une belle découverte : la terrasse est très accueillante, le personnel sympa et les moules y sont délicieuses. Nous y retournerons sûrement un jour découvrir le reste de la carte.
Quant au Ruffé, nous y étions déjà venu en 2017. C'est très bon, recherché, local (les producteurs-fournisseurs s'affichent sur les murs) mais peut-être un peu trop guindé pour moi. Il faut dire que mon look "short-baskets pourries" faisait sans doute un peu tache dans le décor.
Plusieurs épisodes seront nécessaires pour revivre ces trois jours riches en découvertes. Rendez-vous donc les dimanches prochains.