Cette année-là #48 : 2009
Kings Of Convenience - Rule my world
L'année scolaire 2008-2009 ne me laisse pas beaucoup de souvenirs aujourd'hui mis à part l'arrivée de notre nouvelle directrice et le changement de nom et de format du petit journal de classe que je réalise chaque semaine pour les parents. "Sous la plume du caneton" devient "La semaine de Caramel" et passe de une à deux pages (recto-verso of course, j'ai déjà depuis longtemps du mal avec le gaspillage du papier). C'est aussi l'arrivée des premiers strips de ma mascotte favorite.
C'est surtout la dernière fête d'école pour Chicken : il entre - déjà ! - au collège en septembre, Crispim, lui, sera déjà en première !
Avant ça, nous passons trois semaines en Auvergne sous une météo mitigée, puis quelques temps à Paris. Avant même d'entrer en sixième, Chicken est fasciné - comme je l'ai été à son âge - par l'Egypte ancienne, nous passons donc de longs moments avec les Pharaons du Louvre.
Fin août, je m'offre le dernier bain de mer de ma vie après une grosse suée : Béa fait des travaux d'isolation sous le toit de la maison qu'elle vient d'acquérir. Je ne me suis pas rebaigné depuis : j'attends le réchauffement climatique !
Après un premier trimestre presque de routine, "cette année-là" se termine en beauté : la neige si rare par ici montre le bout de son nez mi-décembre avant que nous terminions 2009 par le traditionnel réveillon : chez "Cri-Cri" cette fois.
Animal’z - Enki Bilal
Mon ombre au loin - Lewis Trondheim
Il était une fois en France tome 3 - Fabien Nury & Sylvain Vallée
Good Morning England - Richard Curtis
Inglourious Basterds - Quentin Tarantino
Là-haut - Pete Docter & Bob Peterson
En 2009, il m'arrive encore d'acheter des CD : le dernier de Bruce Springsteen est plutôt sympa. Et je récupère sur Deezer un album que je vais beaucoup écouter : des reprises plutôt très réussies des Beatles par un dénommé Giacomo Bondi qui fait habituellement dans le "Lounge".
Je shunte l'hommage au "King de la pop" que je n'ai jamais pu encadrer et qui disparaît en juin. Je lui préfère Norah Jones. Et si j'ai choisi un morceau des Kings of Convenience, il me faudra pourtant attendre encore une dizaine d'années pour découvrir ce duo envoûtant et mélodieux qui tourne aujourd'hui souvent entre mes oreilles.