Une journée à Street Art City (6) : extérieur (5)
Une journée à Street Art City (1) : intro et expos
Une journée à Street Art City (2) : extérieur (1)
Une journée à Street Art City (3) : extérieur (2)
Une journée à Street Art City (4) : extérieur (3)
Une journée à Street Art City (5) : extérieur (4)
Une journée à Street Art City (6) : extérieur (5)
Une journée à Street Art City (7) : extérieur (6)
Une journée à Street Art City (8) : extérieur (7)
Une journée à Street Art City (9) : conclusion
Ressortant du "bunker", nous remontons vers l'Hôtel 128.
Traitement photo d'un réalisme bluffant pour cette deuxième œuvre de Difuzo à Street Art City : hommage à Irina Doom, jeune rappeuse Chilienne (2023)
A l'instar de Bordalo II, Ezra assemble des éléments de plastique peints en noir : des pièces de motos.
Un superbe graffiti en 3D, une sculpture-signature dont je verrai un autre exemplaire à Redon début août 2024, et également un plus petit dans l'espace d'exposition.
Ici aussi, petit selfie de Rox et Jo.
Nous quittons la "gare" et remontons vers l'Hôtel 128 pour arriver devant ce panneau "historique"
Bijou (2007-2021), mascotte de Street Art City par Ben Caillous, avec la Rox de Cha et Jo le goéland
Sur cette façade de l'Hôtel 128, pas moins de 10 fresques taille XXL…
Déclaration d'amour (2021) par Ben Caillous, de la profondeur sous un aspect faussement naïf qui me plaît bien (même si je trouve cette réalisation moins convaincante).
Moins en tout cas que ces sublimes "Sons ancestraux" (2024) par Oscar Axo : gigantesque et magnifique fresque réalisée entièrement au pinceau, hommage à la culture musicale d'Oaxaca, un des États du Mexique, situé dans le Sud du pays.
Encore une œuvre de Zeso très prolifique à Street Art City et aux alentours. Un beau "tetris" géant (2024) dont il faut prendre le temps de scruter tous les détails, comme à son habitude.
A côté, "Message au monde mutant" (2024) par le duo Sanckoblack : magnifiques visages d'enfants dans un style hyperréaliste, à la fois interrogateurs et inquiets
La fresque-cartoon par Pec (2017) sur la droite semble en regard un peu datée : c'est sans doute celle qui a été remplacée depuis juillet 2024 par une nouvelle fresque d'Oréo.
Deuxième fresque d'Abys, de ce côté de l'Hôtel 128, avec d'autres bestioles rigolardes de dessin animé.
Le poulpe de Depose paraît lui aussi quelque peu daté : il est donc revenu en faire un tout neuf en août !
"Le trappeur" (2018) par Aéro, et Melchior (2022) par Rast : une compétition de réalisme de très haut niveau : un partout ?
(Mais je n'ai pas vu s'animer les 6 disques que présente Melchior, un des trois rois mages dans la religion catholique)
"L’œil surveillant", œuvre assez déroutante et un peu cubiste (?) de Gomad (2018)
Cette fresque de Damien-Paul Gal a dû être assez belle avec son petit rappel "Vague de Hokusai".
Demain, avant-dernier épisode de la visite.