Cinq jours à Strasbourg (1) : intro
Cinq jours à Strasbourg (1) : intro
Cinq jours à Strasbourg (2) : street art "officiel"
Cinq jours à Strasbourg (3) : Tomi Ungerer
Cinq jours à Strasbourg (4) : Stork Pixelart
Cinq jours à Strasbourg (5) : Dan23
Cinq jours à Strasbourg (6) : armoires électriques
Cinq jours à Strasbourg (7) : murs (1)
Cinq jours à Strasbourg (8) : murs (2)
Cinq jours à Strasbourg (9) : collages
Cinq jours à Strasbourg (10) : pochoirs
Cinq jours à Strasbourg (11) : autre street art
Cinq jours à Strasbourg (12) : conclusion
Le mardi 16 juillet, nous quittons Orléans (relire ici) et prenons la route de Strasbourg : nous espérons y trouver du beau temps, de la chaleur… et bien sûr un tas de gribouillis dont les photos m'occuperont dès les premiers signes de l'automne !
Nous nous installons en fin d'après midi à l'Hôtel Ibis situé au nord du centre, tout près de l'arrêt de tram Futura Glacière.
Nous partons illico vers le centre, mais le tram est en travaux, il faut prendre un bus jusqu'à la station Wacken, ce qui sera l'occasion de voir le bus de cette ligne 15 joliment décoré (voir prochain épisode).
De là, nous irons plusieurs fois jusqu'à la station "Homme de fer", mais comme je repère des choses sur la route, nous nous arrêterons pour y voir de plus près (épisodes suivants).
Et pour les explications sur cet homme en armure grandeur nature : lire ici
La cathédrale (voir ici sur Wikipédia) est bien évidemment un des points forts de la ville, et une visite est obligatoire pour tout touriste digne de ce nom…
Sauf que je n'ai rien de digne et nous shunterons encore une fois ce lieu dédié à une foi qu'en tant que mécréant je ne respecte pas beaucoup. Je sais : je peux être très con parce que c'est sûrement beau à l'intérieur. Mais il y a aussi la foule, et ça, j'ai aussi de plus en plus de mal !
Nous allons donc sillonner à pied durant ces 5 jours la plus grande partie du centre ville, étonné à chaque pas du nombre de vélos qui ne donnent pas souvent au piéton l'impression d'être plus en sécurité qu'au milieu des bagnoles !
"En 2024, la Ville de Strasbourg, première ville française labellisée au titre de Capitale mondiale du livre UNESCO 2024, s‘est emparée du protocole Inside Out, créé par le photographe et street artiste JR." (lire la suite ici)
Je n'ai vu que deux "Stolpersteine", ces pavés de la mémoire qui rendent hommage aux victimes de la Shoah, comme ceux vus aussi à Bruxelles en 2019.
La Petite France ou Französel (en alsacien) est un quartier pittoresque du centre-ville historique de Strasbourg.
Entre les bras de l'Ill et l'architecture traditionnelle, il est très agréable de se promener… en dehors des heures les plus touristiques bien sûr !
Le mercredi 17, après un grand tour de la ville, nous passons près de ce beau bâtiment sur lequel je repère une étrange échelle. Il s'agit des bains municipaux de Strasbourg boulevard de la Victoire. Il y a des travaux devant et il est indiqué qu'il va fermer bientôt pour d'autres réfections à l'intérieur. Nous y entrons, mais nous admirerons juste le hall d'entrée : moi, la piscine, hein… Il semble pourtant qu'il y ait bien d'autres beautés à y découvrir.
Et pour terminer ce rapide aperçu, nous décidons le vendredi 19 d'aller faire un petit tour en Allemagne d'un coup de tram. Nous nous arrêtons au Port du Rhin.
Puis nous traversons à pied le célèbre Pont de l'Europe qui mène vers la ville de Kehl.
Nous n'irons pas jusqu'au centre, nous bifurquerons vers la partie du Jardin des deux rives qui longe le Rhin côté allemand, appelé "Le sentier bleu".
La ballade n'est pas désagréable, il y a même quelques œuvres d'art disséminées (prochain épisode). Nous apercevrons également un héron en pleine digestion. Mais bon, moi, c'est plutôt la ville qui m'intéresse, alors nous n'emprunterons pas la passerelle piétonne qui ramène vers le côté français des jardins.
Nous revenons à pied par le Pont de l'Europe et reprenons le tram qui nous ramène vers le centre de Strasbourg. Nous allons y faire une visite du musée Tomi Ungerer… mais ce sera pour le troisième épisode !
Avant cela dès demain : du street art "officiel"