"A l'eau, riant, la jolie"
Cette année, je passe mes vacances chez moi !

Amie festivalière, ami festivalier !
Tu te prépares à débarquer dès le 5 août en cette verdoyante contrée : ici, nul besoin d'arroser son jardin !
Tu t'attends - avec raison - à passer dix jours de rêve au son de la musique celtique. (des, plutôt) Il te faut cependant t'organiser quelque peu.

Cette année, l'Australie est à l'honneur, mais rassure-toi : tu ne souffriras pas de la soif. Et si tu es abstinent(e), la recherche permanente d'un point d'eau ne sera pas un problème. Même en 2003, la canicule a passé son chemin. N'aie non plus aucune frayeur concernant la météo.

Réjouis-toi par avance des souvenirs bien plus forts que tu risques d'emmagasiner. (Et si tu ne me crois pas, prends le temps de (re)visionner le film sur Woodstock.) Oh, il arrive bien sûr que le thermomètre grimpe à des hauteurs inhabituelles. Si tu campes, il est cependant peu probable que tu transpires dans ton duvet.
Tu pourras également goûter la joie des bains de mer, pour peu qu'une eau à la moitié de la température de celle de ta douche ne t'arrête pas. Dans le cas contraire, il te suffira alors de te baigner deux fois, et l'affaire sera faite !

Lorient est une ville moderne : des promoteurs audacieux firent table rase du passé vers 1943. Tu pourras donc profiter de tout le confort et admirer les réalisations parfois déconcertantes des architectes de la reconstruction.
Tu n'es pas un(e) gros(sse) dormeur - meuse ? Formidable ! En attendant le réveil de la ville - vers 18h -, des promenades dans les différents quartiers te permettront d'éliminer le surplus de toxines qu'immanquablement tu risques d'accumuler.

Nous nous proposons donc à cette fin de te faire découvrir quelques trésors parfois bien cachés de cette ville où nous avons choisi de nous installer pour sa douceur de vivre, et sa taille humaine.
Et ceci n'est qu'une entrée en matière.