2018 dans le rétro (6) : mai
Chaque génération aspire à son mai 68. Cette fois, 50 ans après, les étudiants se battent contre "parcours sup". Les facs sont bloquées, la thèse de Crispim se retrouve au point mort.
Avant ça, les vacances nous emmènent à la capitale, à la chasse au street art.
De belles (re)découvertes : Miss Tic, Intra Larue, Oré, Le Cyklop, Ivader…
Et une autre ancienne manie me tombe dessus : les ronds.
Alimenter ce blog est sûrement un cercle vicieux, mais je m'en délecte : "chaque jour est neuf", chantait Hubert Mounier en 1997 dans "un nouveau jour". Neuf peut-être, mais toujours recommencé.