ping pong
Il paraît qu'on dit plutôt "tennis de table", mais "ping pong", je trouve ça plus parlant.
Le bruit de la balle sur la table, le son du rebond, l'idée de répondre du tac au tac*.
J'ai pris ma première leçon au foyer du lycée il y a… prescription !
Au début, on progresse assez vite, et puis il faudrait s'inscrire dans un club, mais bon.
Il existe bien d'autres formes de ping pong.
J'ai eu l'occasion de faire avec ma copine Béa de la "création musicale". Même si ça n'avance pas très vite, le travail à deux, c'est tellement stimulant et le résultat tellement plus riche !
Dans une conversation, il faut être affûté. Un de mes (nombreux) regrets est de n'avoir jamais participé à un club d'impro théâtrale. Avoir de la répartie, de la vivacité d'esprit, ça se travaille en pratiquant beaucoup !
Et puis ce serait bon pour les trois neurones qui me restent !
Fuyant Facebook comme la peste – la paranoïa me guette ! -, j'ai tout de même testé le ping pong écrit avec Crispim. Mais les "jeunes", ça écrit trois mots, et c'est à vous. Moi, je suis un bavard, alors j'ai besoin d'un peu de "matière" !
Le ping pong dessiné, je viens de le découvrir, et j'en bave. Allez donc visiter les matches de Zep contre d'autres auteurs sur son site zeporama.
Bon, il me reste le ping pong avec Caramel, mais ce n'est pas pareil…
Et puis avec moi-même, bien sûr.
Comme Zviane, j'oscille entre les deux mêmes passions, mais avec bien moins de compétences et de talent.
Au final, le ping pong, c'est quand même mieux à deux !
Et même à plus !
(Re)découvrez ces émissions merveilleuses et cultissimes pour un(e) passionné(e) de bande dessinée !
Et de ping pong !