2024 dans le rétro (7) : juin
Juin commence plutôt bien : gros week-end de fête pour les 50 balais d'Anthony pas très loin de Rennes, et en plus il fait beau ! Tout ça ne va pas durer…
Après le défi maths à l'école et le passage de la "flamme" - que j'éviterai consciencieusement malgré les reproches d'Anne Hidalgo qui me traite de "peine à jouir" -, le choc est rude : élections européennes de cauchemar et dissolution de l'Assemblée Nationale.
On devait partir en début de mois mais il est hors de question que je sois absent le 7. (Et pas seulement à cause des 76 ans de Chef !)
La météo se refait capricieuse, je profite tout de même des traces de l'anniversaire de Diaspora au port (10 ans !). Puis d'un heureux concours de circonstance le jour du début de l'été : grâce à l'invitation de Charlotte (que j'ai connue sur Instagram et croisée plusieurs fois en ville), j'ai la chance de visiter le collège de Ploemeur et surtout l'étage arts plastiques transformé en musée du street art par Artjean13, le prof, ses élèves et un paquet d'artistes.
La route - Manu Larcenet
Cabot-Caboche - Grégory Panaccione
"La route" devient pour moi LE chef d'œuvre de Manu Larcenet. Ce type est incroyable dans sa capacité à passer d'un style à l'autre selon les albums. Je n'avais pas lu le roman de McCarthy, mais la BD est un coup de poing.
Amore - Zidrou & Merveille
Banksy, guerre et spray
Eliott Armen n'est pas non plus des plus joyeux mais sa musique correspond bien à mon état d'esprit de cette période qui dure.