Cinq jours à Strasbourg (3) : Tomi Ungerer
Cinq jours à Strasbourg (1) : intro
Cinq jours à Strasbourg (2) : street art "officiel"
Cinq jours à Strasbourg (3) : Tomi Ungerer
Cinq jours à Strasbourg (4) : Stork Pixelart
Cinq jours à Strasbourg (5) : Dan23
Cinq jours à Strasbourg (6) : armoires électriques
Cinq jours à Strasbourg (7) : murs (1)
Cinq jours à Strasbourg (8) : murs (2)
Cinq jours à Strasbourg (9) : collages
Cinq jours à Strasbourg (10) : pochoirs
Cinq jours à Strasbourg (11) : autre street art
Cinq jours à Strasbourg (12) : conclusion
Tomi Ungerer, ça fait un bail que je le côtoie.
Dans ma classe, j'ai souvent travaillé avec mes élèves sur "Le nuage bleu", "Le géant de Zéralda", "Guillaume l'apprenti sorcier" et "Les trois brigands".
J'avais aussi récupéré dans les années 80 des affiches pour la fête de la musique, et qui décoraient ma classe chaque année autour du 21 juin…
A Strasbourg, ses images sont présentes un peu partout dans la ville, et notamment sur les containers à verre. (Mais pourquoi personne n'a ce genre d'idée à Lorient ?…)
J'y retrouve "les trois brigands"…
… et des illustrations pas forcément rattachées à des albums pour enfants. Il faut dire que la longue carrière du bonhomme lui a permis de réaliser de multiples choses dans tous les domaines de l'image.
Nous sommes aussi tombés sur cette armoire électrique avec un hommage à Tomi Ungerer par Kazy Usclef (Je ne sais pas si le gilet jaune a à voir avec les "zévénmans" de 2018…).
Au coin de la place Broglie se trouve la belle fontaine de Janus, créée par Tomi Ungerer à l'occasion du bimillénaire de sa ville natale en 1988.
Et donc le samedi 20 juillet, dernier jour de notre séjour à Strasbourg, nous nous décidons enfin à visiter le Musée qui lui est consacré dans un bâtiment un peu austère au début de l'avenue de la Marseillaise.
Le musée présente finalement assez peu de travaux (je suppose que ses images craignent la lumière et "tournent").
Comme annoncé sur les murs extérieurs, il s'y tient également une exposition consacrée à Julie Doucet. Bon, je ne peux pas dire que je suis un grand fan, peut-être parce que je n'ai jamais été punk ?
J'arrive tout de même à y trouver des choses qui me plaisent, et notamment ce portrait de Jean-Christophe Menu qui est, lui, un fan absolu de la dame.
Allez, je vous renvoie à ces deux vidéos pour en savoir plus.
Enfin le jeudi 18, sur les conseils de notre fils Crispim et de sa Julie, nous avions dîné au Baeckeoffe d'Alsace (j'en reparlerai en conclusion à l'épisode 11). D'autres œuvres de Tomi Ungerer y figurent en bonne place sur les murs.
Au prochain épisode, un autre enfant du pays : Stork Pixelart