Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

voyages

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Publié le par Eu e o Narcisse

Vendredi 24 juillet 2020 - La Butte aux Cailles (13ème)

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Nous avions envie de retourner dans ce quartier aux allures de village.
Tout d'abord à la recherche de nouvelles (et d'anciennes) traces de street art dont nous savions pouvoir trouver pléthore dans ce coin-là. Nous ne serons pas déçus.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Après un petit déj léger, nous sautons dans le RER… qui se traîne jusqu'à la Place d'Italie. Résultat, il est déjà 11h30 quand nous commençons notre balade !

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Enorme coccinelle de Le Long au pochoir : tout de suite, je pense à Gotlib.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

La fête commence dès la rue Paulin Méry, riche en expression murale !
Nous retrouvons bien sûr de vieilles connaissances, que je reprends ou pas en photo (relire les épisodes précédents ou bien les articles de 2018).

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Première nouveauté : les mots croisés façon Scrabble de Wabi Sabi : messages simples, optimistes, gais.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

J'apprends ce jour que Lady Bug est nantaise. Il faudra donc y retourner pour admirer d'autres œuvres. Ses portraits scintillent même sous le ciel gris de ce matin de juillet. Le réalisme est surprenant.

Clet en feu

Clet en feu

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)
Invader ?

Invader ?

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Nous continuons vers la place Paul Verlaine et sa superbe piscine, cernée par toutes sortes de réalisations plus ou moins anonymes, plus ou moins réussies.
Je ne vous remets pas tous les liens vers les sites des artistes déjà rencontrés la veille : là aussi, relisez les chapitres précédents !

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Tocloc : hommage à Magritte ?

Ride in Peace vandalisé ?

Ride in Peace vandalisé ?

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Anubis par Retro

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Nous retrouvons d'autres vases de fleurs de Niyaz Nadjafov, "L’amoureux caché" déjà vus à Montmartre…

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

… et le "Mimil" de David Selor que nous retrouvons après Porto (avril 2016), Athènes (avril 2019) et Bruxelles (juillet 2019).

 

Ping pong sémantique entre Clet et Wabi Sabi

Ping pong sémantique entre Clet et Wabi Sabi

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Et puis nous tombons sur cette superbe fresque de C215 qui célèbre Florence Arthaud.
Et aujourd'hui mercredi 2 septembre 2020, premier jour du procès des attentats de 2015, je maudis l'impréparation qui m'a fait oublier d'aller voir celle qu'il a consacré aux victimes de Charlie Hebdo alors qu'on passera à deux pas le lendemain !

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Un des masques mêlant inspirations mexicaines et super-héros par Noty Aroz, duo découvert à Lille et Bruxelles l'an dernier.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Un petit Bastek bien sympathique lui aussi, comme celui d'hier.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Kraken dont on n'avait vu qu'une pieuvre en 2018 du côté du Canal Saint Martin. Cette fois nous allons être servis…

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Miss Tick : clin d'œil d'Invader à Miss.Tic ?
Si oui, juste retour des choses !

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

FKDL… j'ai l'impression d'avoir déjà vu un de ses collages mais où ?

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Portraits d'habitants au 64, rue du Moulin-des-Prés par Ernesto Novo
Ah, si un des étudiants de l'école d'art de Lorient pouvait en faire autant sur mon immeuble !

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Vermeer revisité par Nobad

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Au-dessous de cet Invader, un petit "jardin" sauvage, signé d'un certain Tegmo (introuvable sur Internet) nous fait furieusement penser aux petits "tricotages" de Sandrine Angel dont nous n'avons encore aperçu aucun représentant. Ça ne durera pas…

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Nous tombons sur notre premier Seth, accompagné par Monsieur Plus et un chat qui me dit quelque chose… (mais où donc en ai-je déjà vu un ?)

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Deux gorilles rigolards inspirés par Gregos ?

Il y a un message là ?…

Il y a un message là ?…

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Tiens au fait, je n'ai toujours rien trouvé sur les acrobates de Montmartre

Encore Monsieur Plus…

Encore Monsieur Plus…

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Et soudain Eugène Barricade ! Il a phagocyté la rue ! Je connais ce nom et pourtant…
Ah mais oui : c'est ma dirloche préférée qui m'en avait parlé il y a deux ans déjà.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Il a l'air de bien s'entendre avec Singular Vintage. Moi, ses réalisations me font penser à du Miss. Tic au masculin.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Nous n'avons pas croisé d'autres réalisations de K-bal que celle-ci et le dodo (voir après), déjà vues en 2018. Dommage.
Quant aux petits rectangles de bois peint, je trouve ça assez sympa… mais ça demeure anonyme pour moi !

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Ride in Peace et… Oré ! Celui-ci s'est fait discret dans le coin ces temps-ci : nous ne verrons aucun autre quetzalcoatl !

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Jef Aérosol toujours au-dessus du bistrot "chez Michel", ouvert cette fois.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Next, le seul que nous (re)verrons aussi.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Un autre gorille, bien amoché celui-là, un autre jardin voyageur, et puis cette magnifique mosaïque de dodo par K-bal.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Je sais, c'est un peu facile, mais c'est voulu : Seth souhaitait vraiment qu'on se positionne exactement là pour admirer ces deux enfants tournoyant autour de ce lampadaire.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Je retrouve avec plaisir ce bagnard - passe muraille deux ans plus tard. Mais pourquoi ne l'avais-je pas portraituré en 2018 ? Il va bien disparaître un jour car c'est le lot du street art. Et je me pose la même question que pour la bande dessinée : quand on entre au musée, est-ce qu'on perd son âme d' "art populaire" ?

Joli papier collé anonyme

Joli papier collé anonyme

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Bel ensemble : j'y reconnais un beau profil par Lady Bug, un petit Scrabble de Wabi Sabi et un E.T. bleu sur un scooter, petit frère de ceux aperçus hier à Montmartre. Darksnoopy ? Le reste n'est pas signé et je n'ai aucune mémoire…

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Dire qu'il y a encore des gens pour dire que le street n'est pas de l'art…
Ben c'est comme l'aquarelle, quoi : il y a du bon et des trucs à chier !
Ça, c'est plus que bon !

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)
Et ben voilà : Sandrine Angel dans ses œuvres, enfin !

Et ben voilà : Sandrine Angel dans ses œuvres, enfin !

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Seth aussi aime les passe muraille. (Ou bien n'aime pas les murs qui séparent…)

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)
Charmant, ça aussi.

Charmant, ça aussi.

Je vais finir par me (re)mettre au tricot. Bon, je ne connais que le point mousse…

Je vais finir par me (re)mettre au tricot. Bon, je ne connais que le point mousse…

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Comme ils disent dans "Paris Street art - saison 2", "le dessinateur et ses dessins se sont évanouis aussi vite qu'ils étaient apparus"…

JE SAIS que je connais l'auteur de ça. Enfin, je connaissais...

JE SAIS que je connais l'auteur de ça. Enfin, je connaissais...

street art fantôme

street art fantôme

concurrence loyale…

concurrence loyale…

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)
Pas réussi à entendre la musique…

Pas réussi à entendre la musique…

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Je ne suis pas fan de ce genre de mosaïque : on dirait les trucs moches qu'on fait avec des espèces de perles en plastique et un fer à repasser. Jamais ça dans ma classe !

Bon, moi, j'ai ressorti la boîte à mégots. J'espère encore que ça ne va pas durer…

Bon, moi, j'ai ressorti la boîte à mégots. J'espère encore que ça ne va pas durer…

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Inévitablement, nous nous arrêtons prendre un café / Coca (ses tripes sont encore fragiles…) au Diamant à l'angle de la rue du même nom et de celle de La Butte aux Cailles. Point de vue idéal sur le mur d'en face superbement décoré et l'animation du quartier qui se prépare au rush du déjeuner. Tout le monde semble plus ou moins se connaître et s'apostrophe dans la rue de façon rigolarde : le blues du Covid n'est pas (encore) arrivé jusqu'ici.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Et puis la poisse me tombe dessus : la batterie de rechange est restée chez Crispim !
Je finirai donc la journée avec son petit numérique.
En attendant je sirote mon expresso en face de cette belle dame au coquelicot et scarabée par msieu bonheur

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

… au-dessus de laquelle nous retrouvons Miss.Tic et Kraken

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Eugène barricade n'a pas trop l'air d'aimer "les gestes barrière"… Il ne sait pas encore que ça va durer !

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Nous quittons doucement ce quartier où il semble faire bon vivre, mais "on est en juillet et néanmoins en touristes", zeugmaterait Desproges. En tout cas on y reviendra dès qu'on reviendra !

Retro

Retro

Paris en juillet par temps de Covid-19 (4)

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Publié le par Eu e o Narcisse

Jeudi 23 juillet 2020 - Montmartre (18ème)
(relire l'épisode précedent ici)

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Les photos ne sont pas présentées dans l'ordre où nous les avons faites mais plus ou moins regroupées par "famille".
Il est de toute façon bon de se perdre dans le quartier, sans s'essayer à l'exhaustivité ou en suivant un parcours préétabli : on n'est pas là pour préparer un bouquin, non plus !
Et puis Montmartre, tout le monde connaît non ?
Commençons donc par les lieux incontournables pour tout touriste qui se respecte.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

En admettant qu'on commence par en haut, la place du Tertre est un bon endroit pour se faire tirer le portrait. C'est ce qu'ont dû penser les street artists : autant être vu !
Un Invader, un De Gaule de Mister P., un Barbanar, une croix de Monsieur Plus, une pieuvre de GZUP, un sein d'Intra Larue

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Rue du Calvaire, en haut des escaliers qui redescendent vers le sud, on retrouve un peu les mêmes, et ce petit nouveau (pour nous) depuis ce matin (relire "les Batignolles") : Bastek aux côtés de Mister P. et Intra Larue (entre autres).

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Flûte ! Tout occupé à regarder cet Invader et les vides créés par l'arrachage de ce qui pouvait être un sein de Intra Larue et une croix de Monsieur Plus, je n'avais pas remarqué le petit tricot en-dessous. A part "… just give", je n'arrive pas à déchiffrer le message. Et donc impossible de savoir qui l'a réalisé et collé.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Intra Larue c'est une de mes préférées depuis 2018.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Scarabée égyptien bien tenté par Intra Larue.

Scarabée égyptien bien tenté par Intra Larue.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Je retrouve avec bonheur celui-ci découvert en 2018. Je ne résiste pas au plaisir de le prendre une nouvelle fois en photo.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

J'ai également un faible pour les collages papier, même si ils sont bien plus éphémères que le plâtre.
Si le précédent n'est pas signé, le suivant est d'une certaine Juliette B'art.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Ce qui me gêne avec les réalisations de Monsieur Plus, c'est leur forme de croix. (Qu'est-ce que je peux être intolérant, souvent !) Signe d'un catholique fervent ou plutôt installations au croisement de nos vies ?
A ses empilements de petits cubes (cristaux de pierres ?), je préfère ses peintures de rues.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Encore un meeting passage des Abesses : Monsieur Plus, un colibri anonyme, un "Ride in peace" à l'état de souvenir...
Et un "In Love" !

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

In Love dont j'apprécie le noir et rouge sobre et l'élégance graphique, ainsi que les messages toujours optimistes (ça me change !)

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Et la façon dont l'artiste sait se servir magnifiquement de son environnement m'épate autant que ces petites bestioles aux airs de Darksnoopy

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Les visages de Gregos, souvent croisés ici et ailleurs, à la fois semblables et toujours renouvelés, sont souvent à la pointe de l'actualité.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Second scarabée tout aussi anonyme (pour moi)

Second scarabée tout aussi anonyme (pour moi)

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Oak Oak, je vous ai déjà parlé d'un bouquin de lui sur lequel j'avais flashé. Nous ne verrons cette fois rien de plus que ce triste vestige.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Petite carotte discrète sur un vestige de boîte aux lettres collée sur le mur du cimetière Montmartre.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

"Le petit moulin" resto accueillant des piafs divers et variés.

Certains ont vue sur la mer, d'autres pas

Certains ont vue sur la mer, d'autres pas

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Invader s'est quant à lui fait discret dans ce quartier en tout cas.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Tout comme Monsieur Chat de Thomas Vuille

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

… et Miss.Tic, que nous retrouverons le lendemain à la Butte aux Caille ! (Mais ça, ce ne doit pas être d'elle : elle signe toujours et ajoute une phrase de son cru.)

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Après le chat de Thomas Vuille, nous découvrons un chat plus discret et bien planqué. On en avait déjà vu un ici en 2018. J'apprends dans le bouquin "Paris street art - saison 2" qu'ils sont installés par Billboards Hacker.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Après cet autre chat bien vivant, lui, il est temps de faire une pause. "L'été en pente douce" nous tend les bras au pied du Sacré-Cœur. Est-ce un hommage à Pauline Laffont, l'année de naissance du patron (1987) ou bien un coïncidence ? En tout cas, il est le bienvenu, le Botak Café, bistrot fréquenté par Crispim quand il habitait le 18ème paraît, lui définitivement fermé.
 

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Avec "L" mais plus vraiment dans le vent !

Avec "L" mais plus vraiment dans le vent !

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Nous descendons ensuite jusqu'au bas de la butte.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Derrière les Halles Saint Pierre, un pigeon signé Avok.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Superbe collage d'Iléa sur le mur latéral

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Tiens, encore un petit équilibriste… Nous allons en croiser des dizaines sans que je parvienne à trouver quel acrobate a bien pu les coller !

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Un Clet un peu mal en point…

Un Clet un peu mal en point…

… et une voiture de police en difficulté !

… et une voiture de police en difficulté !

L'optimisme règne…

L'optimisme règne…

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Mais il est temps de parler de ce petit nouveau (pour nous) : Niyaz Nadjafov. Ce n'est pas que nous adorions ce qu'il fait, mais ses tableaux ont un petit côté romantique. Et il doit être vraiment amoureux car il fleurit tout Paris.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Encore un qui n'a rien compris au masque…

Encore un qui n'a rien compris au masque…

Petit clin d'œil à mon grognon favori

Petit clin d'œil à mon grognon favori

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Portrait de Blase, un gars dont nous avions déjà vu un des tableaux à Bruxelles en 2019.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Superbe Chet Baker par Singular Vintage

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Tout d'abord, j'ai été super fier de les avoir vus, ces six-là. Mais qui les a collés là ?
Et puis j'ai commencé à pleurer sur tout ce qui a dû échapper à mon regard !

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Un dernier collage pour aujourd'hui, réalisé cette fois par le duo Tito/Mulk.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Vers 19h30, nous rentrons chez Crispim : bière et casse-croûte dans le jardin.
A peine couchée, elle ressent des douleurs similaires à ce qu'elle avait vécu à Nantes en 2017. On se voit déjà rentrer promptement comme cette fois-là. Et puis ça passe tout seul dans la nuit. Ouf ! Nous pourrons continuer demain !

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)