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75 résultats pour “duo

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Publié le par Eu e o Narcisse

Jeudi 23 juillet 2020 - Montmartre (18ème)
(relire l'épisode précedent ici)

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Les photos ne sont pas présentées dans l'ordre où nous les avons faites mais plus ou moins regroupées par "famille".
Il est de toute façon bon de se perdre dans le quartier, sans s'essayer à l'exhaustivité ou en suivant un parcours préétabli : on n'est pas là pour préparer un bouquin, non plus !
Et puis Montmartre, tout le monde connaît non ?
Commençons donc par les lieux incontournables pour tout touriste qui se respecte.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

En admettant qu'on commence par en haut, la place du Tertre est un bon endroit pour se faire tirer le portrait. C'est ce qu'ont dû penser les street artists : autant être vu !
Un Invader, un De Gaule de Mister P., un Barbanar, une croix de Monsieur Plus, une pieuvre de GZUP, un sein d'Intra Larue

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Rue du Calvaire, en haut des escaliers qui redescendent vers le sud, on retrouve un peu les mêmes, et ce petit nouveau (pour nous) depuis ce matin (relire "les Batignolles") : Bastek aux côtés de Mister P. et Intra Larue (entre autres).

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Flûte ! Tout occupé à regarder cet Invader et les vides créés par l'arrachage de ce qui pouvait être un sein de Intra Larue et une croix de Monsieur Plus, je n'avais pas remarqué le petit tricot en-dessous. A part "… just give", je n'arrive pas à déchiffrer le message. Et donc impossible de savoir qui l'a réalisé et collé.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Intra Larue c'est une de mes préférées depuis 2018.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Scarabée égyptien bien tenté par Intra Larue.

Scarabée égyptien bien tenté par Intra Larue.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Je retrouve avec bonheur celui-ci découvert en 2018. Je ne résiste pas au plaisir de le prendre une nouvelle fois en photo.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

J'ai également un faible pour les collages papier, même si ils sont bien plus éphémères que le plâtre.
Si le précédent n'est pas signé, le suivant est d'une certaine Juliette B'art.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Ce qui me gêne avec les réalisations de Monsieur Plus, c'est leur forme de croix. (Qu'est-ce que je peux être intolérant, souvent !) Signe d'un catholique fervent ou plutôt installations au croisement de nos vies ?
A ses empilements de petits cubes (cristaux de pierres ?), je préfère ses peintures de rues.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Encore un meeting passage des Abesses : Monsieur Plus, un colibri anonyme, un "Ride in peace" à l'état de souvenir...
Et un "In Love" !

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

In Love dont j'apprécie le noir et rouge sobre et l'élégance graphique, ainsi que les messages toujours optimistes (ça me change !)

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Et la façon dont l'artiste sait se servir magnifiquement de son environnement m'épate autant que ces petites bestioles aux airs de Darksnoopy

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Les visages de Gregos, souvent croisés ici et ailleurs, à la fois semblables et toujours renouvelés, sont souvent à la pointe de l'actualité.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Second scarabée tout aussi anonyme (pour moi)

Second scarabée tout aussi anonyme (pour moi)

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Oak Oak, je vous ai déjà parlé d'un bouquin de lui sur lequel j'avais flashé. Nous ne verrons cette fois rien de plus que ce triste vestige.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Petite carotte discrète sur un vestige de boîte aux lettres collée sur le mur du cimetière Montmartre.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

"Le petit moulin" resto accueillant des piafs divers et variés.

Certains ont vue sur la mer, d'autres pas

Certains ont vue sur la mer, d'autres pas

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Invader s'est quant à lui fait discret dans ce quartier en tout cas.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Tout comme Monsieur Chat de Thomas Vuille

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

… et Miss.Tic, que nous retrouverons le lendemain à la Butte aux Caille ! (Mais ça, ce ne doit pas être d'elle : elle signe toujours et ajoute une phrase de son cru.)

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Après le chat de Thomas Vuille, nous découvrons un chat plus discret et bien planqué. On en avait déjà vu un ici en 2018. J'apprends dans le bouquin "Paris street art - saison 2" qu'ils sont installés par Billboards Hacker.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Après cet autre chat bien vivant, lui, il est temps de faire une pause. "L'été en pente douce" nous tend les bras au pied du Sacré-Cœur. Est-ce un hommage à Pauline Laffont, l'année de naissance du patron (1987) ou bien un coïncidence ? En tout cas, il est le bienvenu, le Botak Café, bistrot fréquenté par Crispim quand il habitait le 18ème paraît, lui définitivement fermé.
 

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Avec "L" mais plus vraiment dans le vent !

Avec "L" mais plus vraiment dans le vent !

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Nous descendons ensuite jusqu'au bas de la butte.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Derrière les Halles Saint Pierre, un pigeon signé Avok.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Superbe collage d'Iléa sur le mur latéral

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Tiens, encore un petit équilibriste… Nous allons en croiser des dizaines sans que je parvienne à trouver quel acrobate a bien pu les coller !

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Un Clet un peu mal en point…

Un Clet un peu mal en point…

… et une voiture de police en difficulté !

… et une voiture de police en difficulté !

L'optimisme règne…

L'optimisme règne…

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Mais il est temps de parler de ce petit nouveau (pour nous) : Niyaz Nadjafov. Ce n'est pas que nous adorions ce qu'il fait, mais ses tableaux ont un petit côté romantique. Et il doit être vraiment amoureux car il fleurit tout Paris.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Encore un qui n'a rien compris au masque…

Encore un qui n'a rien compris au masque…

Petit clin d'œil à mon grognon favori

Petit clin d'œil à mon grognon favori

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Portrait de Blase, un gars dont nous avions déjà vu un des tableaux à Bruxelles en 2019.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Superbe Chet Baker par Singular Vintage

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Tout d'abord, j'ai été super fier de les avoir vus, ces six-là. Mais qui les a collés là ?
Et puis j'ai commencé à pleurer sur tout ce qui a dû échapper à mon regard !

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Un dernier collage pour aujourd'hui, réalisé cette fois par le duo Tito/Mulk.

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Vers 19h30, nous rentrons chez Crispim : bière et casse-croûte dans le jardin.
A peine couchée, elle ressent des douleurs similaires à ce qu'elle avait vécu à Nantes en 2017. On se voit déjà rentrer promptement comme cette fois-là. Et puis ça passe tout seul dans la nuit. Ouf ! Nous pourrons continuer demain !

Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)
Paris en juillet par temps de Covid-19 (3)

Du street art à Redon

Publié le par Narcisse

Du street art à Redon

Après notre visite au Festival photo de la Gacilly dimanche 11 juin 2023, nous avons poussé jusqu'à Redon : elle avait repéré sur Internet qu'il y a un nouveau lieu orné de fresques depuis juillet 2022 : l'info nous avait échappé lors de notre dernier passage en octobre.

Du street art à Redon
Du street art à Redon

L'endroit est clôturé mais en longeant le grillage, il y a un passage sur la droite.
La première œuvre que nous découvrons est de Monsieur Plume (dont nous avions vu des choses à Tours et Saint-Malo). J'aime assez le côté abstrait : ça change !

Du street art à Redon

Sur la face arrière du bâtiment, une suite de fresques, en commençant par celle de Black Graffiti (Arthur Delmas) inconnu de moi.

Du street art à Redon

Une femme à tresse dans un style réaliste joue avec des petits bonshommes (inspirés par ceux de Keith Haring ?).

Du street art à Redon
Du street art à Redon

Juste à côté, trois jeunes gens semblent attendre quelque chose. La fresque est signée Kafé Korsé, dont nous avions vu une autre fresque à Saint-Nicolas de Redon, la dernière fois.

Du street art à Redon

Ensuite vient un graffiti assez esthétique dont je n'ai pas trouvé l'auteur…

Du street art à Redon

… puis une hyène très impressionnante par Artkor Bagdad, autre inconnu.

Du street art à Redon

Sur la face suivante, nouvelle brochette de fresques unies par la couleur noire également…

Du street art à Redon

… et qui commence par deux portraits et une bougie très réussis par Bulea, déjà croisé lui aussi à Redon (mai son Instagram est privé !)

Du street art à Redon

Après un beau graffiti, réalisation en duo de Jef Graffik et Naga. Le "jardin voyageur" qui a poussé au pied rappelle les fleurs caractéristiques du style Naga.

Du street art à Redon

La fresque suivante paraît être également une collaboration. On y retrouve le vieux bateau de pêche qui se décompose lentement sur le port juste derrière, et auquel j'irai aussi rendre visite.

Du street art à Redon
Du street art à Redon

Un enfant dans la détresse par Jimmy Stick

Du street art à Redon

… et un paysage spatial par Les Oides, Kaz & Shok (encore un inconnu).

Du street art à Redon

Enfin tout au bout, une belle galaxie dont je n'ai pas trouvé l'auteur.

Du street art à Redon
Du street art à Redon

J'avais pour ma part repéré sur Internet une nouvelle fresque à Saint-Nicolas de Redon. Nous y sommes donc allés y admirer Solace par NEAN, un nouveau aussi pour moi.

Du street art à Redon

Bon, il est temps d'aller faire un tour au Transfo.

Du street art à Redon

Evidemment, le portail principal est fermé, mais en passant par la bâtisse en ruine à l'entrée, on arrive à un portillon. (A maintenir fermé, il y a des vaches sur le site !)
Ça ressemble à du Jef, mais pas de trace sur son site. Et puis il a été vandalisé…

Du street art à Redon

Rien de bien nouveau  dans le coin : apparemment, seul Jef Graffik y est revenu en solo depuis le dernier Graffo Transfo de septembre 2022.
Le terrain autour d'un ancien bâtiment a été débroussaillé, l'occasion de découvrir une vieillerie… mais de qui ?

Du street art à Redon
Du street art à Redon

Celles-là non plus n'ont pas eu les honneurs de son site… Moi je les trouve toujours aussi craquantes, les "nanas" de Jef !

Du street art à Redon


Celle-ci qui date de septembre 2022, je l'avais aperçue la dernière fois (en octobre) mais j'avais eu la flemme de sauter la barrière : erreur réparée, elle est magnifique !

Du street art à Redon

Son pêcheur est dissimulé derrière des bottes de paille mais il s'est "vengé" en posant un autre portrait à côté.
Nous quittons le Transfo et nous dirigeons vers la Halle Garnier, en commençant par le côté qui borde la Vilaine. Ici aussi, le nouveau se résume à Jef…

Du street art à Redon

… qui expérimente semble-t-il une nouvelle technique avec cette "Luna" (mai 2023), et qui m'évoque une direction plus "cubiste" tout aussi esthétique.

Du street art à Redon

Warm and cold - Jef Graffik (juin 2023)

Du street art à Redon

A l'arrière de la halle, les mêmes graffitis peu intéressants, et puis du côté du port de plaisance, ce portrait-graffiti réalisé à deux (Jef Graffik & Ezra) d'avril 2023 est déjà dissimulé derrière des tas de gravats : il y a des travaux de ce côté (et peu de respect pour l'aspect esthétiques des réalisations de ce mur !).

Du street art à Redon

Un autre pêcheur (?) daté d'avril 2023, dans ce même nouveau style…

Du street art à Redon

… et nouveau portrait (près d'un déjà vu) : "Bipolar" (mai 2023). Le choix "cubiste" est bien revendiqué cette fois !

Du street art à Redon
Du street art à Redon

Nous apercevons d'autres nouveautés.

Bon, entre Jef et Hek, c'est haine-amour…

Bon, entre Jef et Hek, c'est haine-amour…

Du street art à Redon

Belle inconnue au col roulé et Samo girl (mai 2023) inspiré par Basquiat. Là encore, j'aime assez.

Du street art à Redon

Je suis moins convaincu par cette belle mélancolique (décembre 2022) qui ressemble (par le décor aussi) à celle du Transfo…

Du street art à Redon

… mais bien plus par cette "douche" (?) de janvier 2023.

Du street art à Redon

Avec ce pêcheur (décembre 2022), nous avons fini assez rapidement notre tour de la Halle : tout le reste est déjà vu. Nous partons pour un petit tour du quartier…

énigmatique panda

énigmatique panda

Rien trouvé non plus sur ce piaf.

Rien trouvé non plus sur ce piaf.

… et à défaut de trucs intéressants, je tombe sur une superbe borne d'incendie ! Je ne résiste pas au plaisir de semer une "Braiz" avant de rentrer sur Lorient.

 " 'Cause you're  playing with fire"

" 'Cause you're playing with fire"

Du street art à Redon
Redon - Dimanche 11 juin 2023

Redon - Dimanche 11 juin 2023

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