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27 résultats pour “fomos

Fomos a Lisboa (4)

Publié le par Narcisse

Fomos a Lisboa (4)

Arte Urbana de Setúbal (2/2)

Fomos a Lisboa (4)

Donc cette seconde partie est consacrée au reste de ce que nous avons vu à Setúbal. C'est loin d'être exhaustif car nous ne nous sommes tout de même pas beaucoup éloignés du centre : nous y avions des obligations !

Pour moi, ce genre de chose fait aussi partie du street art !

Pour moi, ce genre de chose fait aussi partie du street art !

Fomos a Lisboa (4)
Fomos a Lisboa (4)
Fomos a Lisboa (4)

Je commencerai donc par ce qui nous a sauté aux yeux dès notre sortie de l'hôtel : un quartier un peu à l'abandon, mais avec une réelle volonté de le rénover. Beaucoup de maisons en ruine, et un peu partout, cet oiseau qui promeut l'amour. J'ai eu du mal à en retrouver l'auteur : il s'agit de TvFer One, apparemment tatoueur de métier !

Fomos a Lisboa (4)
Au coin des rues Major Pedroso Gamito et Avenida Belo Horizonte : des piafs, mais pas que !

Au coin des rues Major Pedroso Gamito et Avenida Belo Horizonte : des piafs, mais pas que !

Fomos a Lisboa (4)
Fomos a Lisboa (4)
Fomos a Lisboa (4)
Fomos a Lisboa (4)
Fomos a Lisboa (4)
Fomos a Lisboa (4)
Fomos a Lisboa (4)
Dans ce quartier populaire, il existe aussi semble-t-il encore une contestation politique.

Dans ce quartier populaire, il existe aussi semble-t-il encore une contestation politique.

"Carpe diem", me conseille L.O.N.O.

"Carpe diem", me conseille L.O.N.O.

"Il existe une vie sous le ciment."

"Il existe une vie sous le ciment."

Dans les rues autour de la Casa Bocage (où nous avons vu les photos de Américo Ribeiro), beaucoup de maisons (très) modestes et de bâtisses à reconstruire.

Fomos a Lisboa (4)
Fomos a Lisboa (4)
Fomos a Lisboa (4)

Nous continuons vers le nord jusqu'au rond point "Praça de Portugal". Elle y a repéré qu'il y a des fresques sur des immeubles récents, réalisées par le collectif Explicit Citizens vraiment très impliqué dans la ville. La première (signée João Murta et Golias D.) représente une plante d'appartement, de la série "Crescer" (croître).

Fomos a Lisboa (4)

"Incluse dans la série Crescer, (elle) porte le nom de "Sossegar" et suivant l'idée de base du projet, nous avons représenté une plante comme celles que nous voyons à l'intérieur de nombreux bâtiments, d'une certaine manière, elle représente une image familière pour beaucoup d'entre nous , comme l'arrivée à la maison, à notre havre de paix.
Ce type de plante se retrouve beaucoup à l'intérieur des bâtiments et dans les halls d'entrée, nous avons tous vu cette "image" quelque part, cela nous rappelle un sentiment de sécurité, sans même nous en rendre compte, nous sommes arrivés à notre port-abri et à notre tranquillité."

Fomos a Lisboa (4)

"Acolher" (accueillir, recevoir) est le nom que nous avons donné au 3e volet de la Série Crescer.
Symbolisant la protection, le garçon porte une "épée de Santa Bárbara", un poids important dans sa vie, comme s'il s'agissait d'un grand changement, le même poids et la même importance que nous ressentons lorsque nous avons ce projet sous notre responsabilité."

Fomos a Lisboa (4)
Fomos a Lisboa (4)

"Apprendre à "Cuidar" (prendre soin), une étape importante dans l'évolution de tout individu. Dans ce tableau, nous représentons la croissance et le développement personnels, la nécessité de prendre soin de nous et des autres, avec un garçon du quartier arrosant une plante, l'avenir et la maturité que le garçon et le jeune arbre atteindront avec le temps qui passe."

Fomos a Lisboa (4)

"Contemplar" : Dans cette peinture, nous avons l'intention de transmettre la tranquillité et les rêves que nous apportons avec nous, comme si la plante était une métaphore de notre vie, car comme les plantes, nous passons par des processus de développement personnel. Les vignes recouvrant le bâtiment, comme pour le protéger, véhiculent l'idée de sécurité et d'harmonie."

Fomos a Lisboa (4)

Très chouette série qui me fait encore une fois me lamenter en pensant à mon immeuble terne.

Fomos a Lisboa (4)

Un peu plus au nord-ouest, rue António José Baptista, nouvelle fresque par Explicit Citizens : une genette (Ginette ?), animal typique du bassin méditerranéen. Je n'ai pas trouvé la raison de ce choix, mais la réalisation est sympa.

Fomos a Lisboa (4)
Fomos a Lisboa (4)

Nous redescendons vers le sud-ouest en direction du centre et empruntons le passage piéton qui passe sous la voie de chemin de fer (tunnel de Quebedo) dans l'Avenue Jaime Cortesão. Il est décoré d'une œuvre de Andreas Stöcklein faite de carreaux de faïence qui me laisse un peu perplexe.

Fomos a Lisboa (4)
Fomos a Lisboa (4)
Fomos a Lisboa (4)
Fomos a Lisboa (4)

En remontant vers le nord, nous rejoignons l'avenue República da Guiné-Bissau avant de redescendre vers le Parque do Bonfim En passant devant le centre commercial, je remarque deux portraits et des murs bariolés, réalisés (si j'en crois internet) par Teresa Melo bien que j'ai des doutes.

Fomos a Lisboa (4)
L'observateur d'oiseaux - Maria Pó

L'observateur d'oiseaux - Maria Pó

"Le jardin est habité par les répliques géantes des “Pasmadinhos" ("ébahis") de Maria Pó,  céramiques aux couleurs vives inspirées de la mémoire et de l'identité de Setúbal." C'est coloré, très gai et original, je suis fan !

Miss Livramento

Miss Livramento

Le marché de produits frais de Setúbal est nommé Livramento en référence au nom de l'ancienne rivière qui passait à l'endroit de sa construction. (Nous y sommes passés, évidemment, voir article "Setúbal - la ville")

Fomos a Lisboa (4)

Luísa Todi, la fameuse, née à Setúbal et "meilleure chanteuse lyrique portugaise de tous les temps" selon l'écriteau posé à ses pieds.

Descarregador de Peixe (déchargeur de poisson)

Descarregador de Peixe (déchargeur de poisson)

"Une des images iconographiques de cette ville liée à la mer, la pêche s'assumant encore aujourd'hui comme une activité d'une extrême importance sociale et économique." (lu sur la description Facebook)

Lavadeira de Azeitão (Lavandière de Azeitão, pas très loin de Setúbal)

Lavadeira de Azeitão (Lavandière de Azeitão, pas très loin de Setúbal)

Les lavandières du Portugal ont été rendues célèbres par une chanson qui existe en français, mais aussi en Portugais ici.
Nous passerons un peu plus loin devant une boutique qui vend des Pasmadinhos de Maria Pó, mais je n'ai pas craqué : j'ai suffisamment de bibelots chez moi !

Fomos a Lisboa (4)
Fomos a Lisboa (4)

Comme chaque soir, nous rentrons à l'hôtel par le Miradouro de São Sebastião. C'est là que se trouve le Musée du travail Michel Giacometti. A l'entrée en contrebas de la rue, un visage en céramique attire mon regard : "operária conserveira", une ouvrière des conserveries

Fomos a Lisboa (4)
Fomos a Lisboa (4)

Dans les ruelles qui nous ramènent à l'hôtel, nous tombons sur ce chinchard et cette seiche dans la Rua do Poço das Fontainhas.
"Bairro das Fontainhas était un lieu de résidence pour les personnes liées à l'industrie de la pêche et de la conserve, dans ses environs se trouvent des usines qui se sont entre-temps délabrées, dont la plupart ont depuis été démolies. Les peintures murales ont été exécutées par le collectif Explicit Citizens."

Les yeux plus grands que le ventre…

Les yeux plus grands que le ventre…

Fomos a Lisboa (4)
L'actualité nous poursuit…

L'actualité nous poursuit…

Fomos a Lisboa (4)

Nous redescendons vers l'eau et longeons le viaduc de l'avenue Luísa Todi vers l'est. Les piles du pont sont ornées de plantes maritimes dans un style "herbier" assez léché et convainquant.

Fomos a Lisboa (4)
Fomos a Lisboa (4)
Fomos a Lisboa (4)
Fomos a Lisboa (4)

Sur un bâtiment abandonné, nous apercevons une nouvelle fresque. Il s'agit d'une œuvre de Elena González (Ele.Zissou), “Encontro pela Paz” (rencontre pour la paix)

Fomos a Lisboa (4)
Fomos a Lisboa (4)
Fomos a Lisboa (4)
Fomos a Lisboa (4)

Demi-tour, puis nous remontons par la rue Camilo Castelo Branco : il s'y trouve une ancienne usine en ruine, et la barrière ne m'arrêtera pas longtemps.

Fomos a Lisboa (4)
Fomos a Lisboa (4)

A l'intérieur (si j'ose dire : ça manque de plafond.), peu de choses intéressantes. Mais qui sait si l'un de ces "gribouilleurs" ne va pas progresser et faire partie de la nouvelle génération ?

Fomos a Lisboa (4)
Fomos a Lisboa (4)
Fomos a Lisboa (4)
Fomos a Lisboa (4)

Encore quelques gribouillis anonymes en bas du Jardim Multissensorial das Energias par lequel nous remontons.

Fomos a Lisboa (4)
Fomos a Lisboa (4)

Dernière fresque (mais nous l'avons en fait vue le premier jour !) réalisée en 2018 par Explicit Citizens sur l'Avenida Belo Horizonte  avant de revenir au point de départ…

Fomos a Lisboa (4)

…et dernier coucou à ce bel oiseau par Raivo et el Tvfer one (le tatoueur ami des piafs)

Fomos a Lisboa (4)

Malgré les contraintes, nous aurons vu pas mal de belles choses à Setúbal durant ces trois jours. Nos vacances promettent d'être désormais plus détendues avec les quatre jours que nous allons passer à Lisbonne… et qui se transformeront en huit tellement cette ville est ensorceleuse. Et regorge d'œuvres d' "arte urbana" toutes plus belles les unes que les autres, et si nombreuses qu'elles vont affoler la carte SD et faire chauffer l'appareil photo.
De nombreux épisodes restent donc à prévoir pour raconter tout ça.

"Ils tuent les dauphins pour faire de la place aux requins"

"Ils tuent les dauphins pour faire de la place aux requins"

Setúbal - Du mardi 12 au vendredi 15 juillet 2022

Setúbal - Du mardi 12 au vendredi 15 juillet 2022

Fomos a Lisboa (3)

Publié le par Narcisse

Fomos a Lisboa (3)

Arte Urbana de Setúbal (1/2)

Fomos a Lisboa (3)

Considérant la quantité des choses vues dans le domaine de "l'art urbain" (street art, graffiti… gribouillis ?), il me faut bien deux épisodes pour présenter la variété de tout ce que j'ai photographié à Setúbal. Cette première partie sera donc consacrée au centre et aux abords du port de pêche.
Evidemment, sur place, ce fut moins organisé : nous étions tributaires des différents rendez-vous administratifs, et nous avons donc sillonné un peu anarchiquement, picorant au hasard des rencontres. Seule la dernière journée (le 15 juillet) fut un peu plus préparée : il faut dire qu'elle avait repéré des trucs à voir. Moi, comme d'habitude, je n'en avais pas pris le temps. Pour les références, je me suis beaucoup servi de ce pdf en ligne pas totalement exhaustif mais tout de même bien utile.

Fomos a Lisboa (3)

D'accord, il y a aussi du moche, mais je repère un autocollant "Explicit Citizens" : je retrouverai bientôt ce nom.

Fomos a Lisboa (3)

Ça commence avec de l'art "officiel" dès le premier soir, sur la place de la taverne où nous avons dîné. Une sculpture d'une femme énorme appuyée sur une chaise. Nous y repasserons plusieurs fois et un ouvrier (facétieux ?) lui fournira même de quoi se pendre ! ("liquidation totale" !)

"Menina com cadeira” - João Duarte - 2016 - Largo Dr. Francisco Soveral

"Menina com cadeira” - João Duarte - 2016 - Largo Dr. Francisco Soveral

Nous rencontrerons également deux de ses sœurs. La première, celle à la valise, n'est pas très loin de là.

Fomos a Lisboa (3)

“A Menina da mala" - João Duarte - 2017
"Fille à la valise" - Avenida Luísa Todi en face de l'arche de Ribeira Velha

J'aurai le temps de passer un bon moment avec la troisième, assise sur un banc juste à côté de Sem Horas où j'ai poireauté des heures (voir épisode précédent). Sa tête renversé en arrière lui donne une grâce que j'ai fini par apprécier.
Et nous avons manqué la quatrième, la plus récente "Fille au vélo" sur l'Avenue Luísa Todi.

“Dolce Vita” - João Duarte - 2015 - Largo da Misericórdia

“Dolce Vita” - João Duarte - 2015 - Largo da Misericórdia

"Quatre figures convexes, aux formes rondes et pleines, enrichissent d'art l'espace public de la ville. Les "grosses" filles sont des sculptures atypiques et attirantes, fruit de la créativité de l'artiste João Duarte, toutes en bronze à patine verdâtre". (Setúbal - Guide des événements)

Fomos a Lisboa (3)

On ne les avait pas remarqués tout de suite en passant dans les rues piétonnes, et pour cause : ils n'apparaissent qu'une fois que les chalands ont déserté et que les boutiques ont baissé le rideau.

Nuno Batista

Nuno Batista

Nuno Batista

Nuno Batista

"Initiative de la municipalité de Setúbal, avec le partenariat de l'Associação Riscas Vadias, ce projet intègre 44 tableaux et entend transformer le Centre Commercial en une galerie à ciel ouvert, valoriser l'art urbain, le commerce et renforcer l'attractivité du centre historique de Setúbal."

Ruben

Ruben

Rick de Melo

Rick de Melo

Fomos a Lisboa (3)

"Explicit Citizens est un collectif d'artistes indépendants de Setúbal qui a été créé au début de l'année 2017.
Alternant entre la peinture et le graffiti, le graphisme et l'illustration, la sculpture et le tatouage, la photographie et la musique, le collectif d'art produit des œuvres socialement pertinentes dans un style régional.
Explicit Citizens développe le travail artistique à un niveau personnel et collectif, en collaborant avec des producteurs d'événements, en travaillant pour des clients individuels, en soutenant des institutions locales et en se produisant en direct sur des événements."

Fomos a Lisboa (3)
Fomos a Lisboa (3)
Fomos a Lisboa (3)

el Tvfer one, apparemment un tatoueur

Xoto

Xoto

Xoto

Xoto

Saturno

Saturno

Fomos a Lisboa (3)

Même si le niveau est assez inégal, certains artistes sont vraiment très talentueux et donnent envie de voir d'autres productions. Ce sera le cas pour notre préféré ici : Utopia.

Fomos a Lisboa (3)
Robot

Robot

Robot

Robot

 Filipe Figueiras

Filipe Figueiras

Autre "mode" adoptée, et que nous avions déjà remarquée à Porto en 2016 : peindre les boîtes de l'EDF locale. (EDP !) Comme cela faisait dix ans qu'on n'était pas venu, j'imagine que certaines datent un peu (et ça se voit).

Raivo

Raivo

el Tvfer one

el Tvfer one

el Tvfer one

el Tvfer one

el Tvfer one

el Tvfer one

Explicit Citizens : sardines et seiche, emblèmes locaux !

Explicit Citizens : sardines et seiche, emblèmes locaux !

Comod

Comod

Fomos a Lisboa (3)
João Praia dans un style naïf

João Praia dans un style naïf

Fomos a Lisboa (3)

Ce piaf presque effacé sur la place Bocage m'en rappelle deux autres, vus pour l'un deux le premier soir près de l'hôtel (Raivo et el Tvfer one). Et puis le superbe oiseau géant vu deux jours avant près de chez la notaire, et signé 2Hands et Dez.

2Hands & Dez

2Hands & Dez

Fomos a Lisboa (3)

Au début de l'avenue Luísa Todi côté est, une œuvre de commande de l'artiste uruguayen Juan Carlos Barreto : "9500km al sur" (2019) sur un des murs de la Galeria Municipal do 11.

Peu de collages dans la ville

Peu de collages dans la ville

Fomos a Lisboa (3)
 Du même, d'après les yeux

Du même, d'après les yeux

Fomos a Lisboa (3)
Fomos a Lisboa (3)
Fomos a Lisboa (3)
Fomos a Lisboa (3)

En face d'un des offices de tourisme (au bord de l'avenue Luísa Todi, dans la petite rue entre une banque et le McDo), un graffiti comme il m'arrive d'en aimer.

Fomos a Lisboa (3)

Poursuivant beaucoup plus loin vers l'ouest et le port de pêche (cette avenue est interminable !), nous arrivons à la Casa da Baía, autre office de tourisme. Dans la cour arrière, c'est un bar avec pour déco une belle fresque marine de Smile. (Le Kaz du coin ?)

Fomos a Lisboa (3)
Fomos a Lisboa (3)

A l'intérieur se tient une expo de poissons bricolés qui me plaisent bien, et qui plairaient peut-être à Didier aussi… mais impossible de connaître l'auteur (et je n'ai pas osé demander : c'est assez "classieux" ici !)

Fomos a Lisboa (3)
Fomos a Lisboa (3)
Fomos a Lisboa (3)
Fomos a Lisboa (3)
Fomos a Lisboa (3)
Fomos a Lisboa (3)
Fomos a Lisboa (3)

Un peu plus loin du même côté, autre fresque marine de 2017 par António Péguinho cette fois, en face de terrasses de restos (qui n'ont pas vue sur la mer !).

Fomos a Lisboa (3)
Fomos a Lisboa (3)

Autre fresque naïve par Joana Baptista rue Marques de Costa

Fomos a Lisboa (3)

Sur la façade de la même maison, un collage-patchwork visiblement réalisé par le même que les têtes rondes colorées (voir plus haut). Habite-t-il ici ? Connaît-il ce proprio ? En tout cas si ce n'est pas le cas, je l'invite à venir faire la même choses sur mon immeuble !

Fomos a Lisboa (3)
Fomos a Lisboa (3)

Et en face de cette maison, fresque un peu vieillotte de Nuno Batista à l'arrière d'un restaurant (sans doute une commande) dans la Travessa. Anunciada.

Fomos a Lisboa (3)

Nous remontons la rue puis redescendons les escaliers sur la gauche pour rejoindre à nouveau l'avenue Todi. Au passage, un peu de gribouillis…

Fomos a Lisboa (3)
Fomos a Lisboa (3)
Fomos a Lisboa (3)

Arrivés au bout de l'avenue, nous traversons pour nous rapprocher de l'eau.

Fomos a Lisboa (3)
Avenue José Mourinho, quelques antiquités…

Avenue José Mourinho, quelques antiquités…

Fomos a Lisboa (3)
…et nous voilà enfin au port de pêche

…et nous voilà enfin au port de pêche

Fomos a Lisboa (3)

Ça revendique, dans le coin. ("Dis non aux dragages !") Mais il s'agît bien de port, pas de porcs…

Fomos a Lisboa (3)

Sur la promenade devant le port, la “Golfinho Parade”, quelques uns des dauphins décorés lauréats d'un concours organisé par la mairie. L'animal est un des emblèmes de la ville car on en voit fréquemment dans l'estuaire du Sado.

Fomos a Lisboa (3)
Fomos a Lisboa (3)

En revenant vers le centre, l'avenue José Mourinho devient l'avenue Jaime Rebelo et nous tombons enfin sur le superbe renard géant de Gonçalo Ribeiro alias Gonçalo Mar.

Fomos a Lisboa (3)

Nous reprenons vers l'avenue Luísa Todi (décidément !) pour rejoindre l'Auditorium José Afonso sur le largo du même nom. L'artiste Odeith y a peint en 2014 "Rapaz dos Pássaros" (garçon aux oiseaux) d'après une photo de Américo Ribeiro du début du vingtième siècle.

Fomos a Lisboa (3)

La petite histoire dit que l'artiste et le modèle original se sont retrouvés par hasard, un homme ayant reconnu son oncle de 91 ans dans cet enfant !

(Notez la poubelle à déchets)

(Notez la poubelle à déchets)

Escolha e Emes

Escolha e Emes

Bouquiniste rua do Concelho, petite rue au nord de la Place Bocage

Bouquiniste rua do Concelho, petite rue au nord de la Place Bocage

Fomos a Lisboa (3)

Varié, c'est le mot qui me vient pour évoquer ce que nous avons vu ici.
Du moche, du bof, du moyen, du bien, du très bien
Du superbe aussi.
Seconde partie demain : du nord du centre (!) vers l'est et l'hôtel où nous avons résidé.

Fomos a Lisboa (3)
Fomos a Lisboa (3)

Poésie urbaine ?
"La vie est fille de putain
La putain est fille de la vie
Je n'ai jamais vu autant de putain(s)
Dans ma putain de vie"

Fomos a Lisboa (3)

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