Chats, rab y'a
Fabrice Nicolino, j'aime beaucoup ce que vous faites !
Voilà un gars qui n'hésite pas à mettre les pieds dans le plat, qui défend une écologie bien loin des Bisounours et de "30 millions d'amis".
Je n'ai pas de jardin. Mais j'en ai eu un, petit, chez mes parents. J'y observais les oiseaux, les animaux étaient ma passion. J'ai même voulu être vétérinaire, heureusement que je n'étais pas assez bon en maths : j'ai découvert que j'avais en fait peur d'eux !
Je connaissais le moineau, la fauvette, la mésange (LES mésanges, même), le merle, l'étourneau, le chardonneret, le bouvreuil, le verdier, le troglodyte mignon, la tourterelle turque, le pinson... Ça devait être dans mes gènes : Tonton Serge est à la LPO.
Aujourd'hui en classe, je me désole que les enfants ne reconnaissent ni la pie ni la corneille, même pas le merle. ("Blackbird", merde quoi !)
Et voilà que ce type – le Nicolino là – nous relaie des études sur les chats bouffeurs d'oiseaux. Les chats, ce n'est pas trop mon truc (relire plus bas), peut-être parce que mon père était allergique à leurs poils… Quand je vais chez le propriétaire d'un de ces félidés, ledit bestiau se retrouve immanquablement sur mes genoux, à me labourer les cuisses à travers le jean ! Ceci dit, je ne leur veux aucun mal, et je passe des heures à observer – de haut – la demi-douzaine qui traîne autour de mon immeuble.
Chats de papier - Ginette & Caramel
http://ginette-caramel.over-blog.com/2015/08/chats-de-papier.html
Chats de papier - 26 août 2015
Je n'en ai jamais vu un choper un piaf, mais j'imagine qu'ils ne se gênent pas trop, surtout au printemps, quand la "génération montante" prend son premier vol…
Il y a de moins en moins de chiens dans mon quartier, et de plus en plus de chats.
Vision optimiste : les gens préfèrent cet animal, pour son indépendance, son côté plus "naturel", limite sauvage.
Vision pessimiste (la mienne !) : il n'y a pas trop à s'en occuper, pas comme les chiens… ou les gosses !
Quand je suis énervé - de plus en plus souvent, c'est l'âge ! -, je me dis qu'on devrait faire des internats pour les gamins de 2 à 18 ans. Ça épargnerait aux parents la lourde tâche de les "élever.. et de leur apprendre des trucs ! ("Parce qu'en plus de les nourrir, il faut s'en occuper ?!")
Narcisse, nombriliste et néanmoins misanthrope
Joe Jackson - We the cats
Planète sans visa - le site de Fabrice Nicolino