Il y a un bus.
couverture de Jean-Philippe Peyraud
Il ne faut pas confondre :
"un bus de sept heures et quart"
et
"eux deux, car c'est un rébus" !
hum !
Chats de papier
J'aimerais bien aimer les chats, mais j'ai des rapports compliqués avec eux.
Il y a ceux qui se battent à l'aube en bas de chez moi, les déjections à ramasser au petit matin dans le bac à sable, et ceux qui s'obstinent à trouver mes genoux accueillants.
Animal ambigu, inquiétant, fascinant aussi. (voir l'engouement pour les "lol cats"…)
Indépendant surtout, ce qui n'est sans doute pas compatible avec ma propension à tomber dans toutes sortes d'addictions !
A l'occasion d'une période de grande solitude - trois semaines d'hôpital ! -, je lui ai pourtant dédié "matou mutin", ma première chanson !
Les chats de papier, ça me va bien !
Broussaille (frank et Bom) - Gaston (Franquin)
Il y a le chat de "bonne compagnie", le compagnon attachant et fidèle, mais indépendant, donc.
Et parfois insupportable !
les petits riens (Lewis Trondheim) - Le combat ordinaire (Manu Larcenet) - Garfield (Jim Davis) - La fugue (Yvan Pommaux, avec un clin d'oeil à "Krazy Kat" de Herriman, et Moustache et Trottinette" de Calvo)
Calvin et Hobbes (Bill Watterson) - Bludzee (Lewis trondheim) - Carmen Cru (Lelong) - Bilal
Et puis il y a celui qui échappe à tout contrôle, complètement autonome, ingouvernable.
Richard, personnage récurrent de la série des "Lapinots" dans Top ouf (Lewis trondheim) - le chat (philippe Geluck - Krazy Kat (Herriman) - Clark Gaybeul (Edika)
Sans oublier les chats infréquentables...
la marque de Raspoutine (Sokal) - Maus (Art Spiegelman)
Et pour finir, le chat qu'on ne voit pas, mais qui n'en pense pas moins !
rha-gnagna (gotlib)
L'Affaire Louis Trio – le chat a toujours raison
Un (petit) aperçu) des chats que je "fréquente" dans ma bédéthèque perso.
L'exhaustivité n'étant pas mon but, je vous renvoie là encore aux nombreux sites existants sur le sujet, pour ceux qui voudraient en savoir plus…
Leur tour viendra peut-être...