2022 dans le rétro (8) : juillet
En ce premier jour de juillet, le planning est chargé : sortie à la ferme pédagogique l'après-midi et fête de l'école le soir. Les olympiades de la veille m'ont déjà pompé pas mal d'énergie.
13h45, nous partons prendre le bus… et à 14h30, je décide de retourner à l'école : on nous a oubliés !
J'avais prévu mon traditionnel jeu d'orientation, alors je suis vert : cette séance a déjà été annulée en 2020 pour cause de covid et en 2021 en raison de la canicule (qui avait duré un jour !). Bon, je remballe mes prép : il me reste deux ans pour m'en servir.
Le soir, corvée "fête de l'école" pour laquelle je m'échine obstinément à un bidouiller un "playback" digne de ce nom pour le bonheur de mes élèves, ravis de se produire sur scène, et de quelques parents qui m'en sauront gré.
A l'approche des grandes vacances, on se demande vraiment comment notre administration a pu nous attribuer une ouverture de classe "ferme" (?!) : il est déjà clair qu'on n'aura pas les effectifs à la rentrée !
L'année se termine de façon surprenante : ma collègue si précautionneuse – au moins cinq années de gel hydroalcoolique derrière elle - se chope le covid l'avant dernier jour !
On se quitte le 7 (sans même une bouffe ou un pot), et j'ai à peine deux jours pour prendre de l'avance sur le blog avec mes BD et mes "Hearty show".
Le 11, on est sur la route du Portugal, avec corvées administratives en vue (pour elle) et chasse au street art (pour moi).
Après trois jours à Setúbal, direction Lisbonne : la moisson photographique sera pantagruélique… tout comme nos dîners (on saute le plus souvent le déjeuner). Entre Portugal, Taverne et Clos Margaux, nous aurons pris plus de 40 repas sur 62 au resto !